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Domaines d'intervention

L’ACPE lutte essentiellement contre toutes les formes d’exploitations sexuelles des enfants : proxénétisme sur mineur, traite des êtres humains, recours à la prostitution de mineur, tourisme sexuel impliquant des enfants, etc…
Un combat contre toutes les formes d’exploitation sexuelle des mineurs

L’ACPE a pour dénomination officielle « Agir Contre la Prostitution des Enfants et les Violences Sexuelles ». Elle a pour mandat de lutter contre :

– le recours à la prostitution d’enfants et l’incitation à celle-ci, le proxénétisme à l’égard d’enfants et la traite des enfants à des fins d’exploitation sexuelle ;
– les violences sexuelles commises à l’égard d’enfants, notamment les viols, les agressions sexuelles et les atteintes sexuelles ;
– la pédopornographie, notamment la captation, l’enregistrement et la diffusion d’images pédopornographiques ;
– la corruption de mineur, notamment à travers la sollicitation d’enfants à des fi
ns sexuelles via des réseaux de télécommunication ;
– et plus généralement toutes les autres formes de violence et d’exploitation sexuelle à l’encontre d’
enfants.

Plusieurs fronts pour un seul et même combat

Ainsi, l’ACPE mène des recherches, engage le débat et fait des propositions sur des domaines variés :

–  les réseaux de proxénétisme et de traite des êtres humains
–  les conduites prostitutionnelles ou pré-prostitutionnelles (« michetonnage », « escorting », etc.)
–  la question de l’âge du consentement
–  l’exposition des enfants à la pornographie
–  les risques liés aux nouvelles technologies de l’information et de la communication (réseaux sociaux, tchats,
« nudes », « sextorsion », « revenge porn », etc.)
–  la glamourisation et la banalisation de la marchandisation du corps
–  et tous les autres enjeux qui peuvent être liés à l’exploitation des mineurs sur le plan sexuel

 

Association pionnière dans la dénonciation du « tourisme sexuel »

À sa création en 1986, l’ACPE (alors dénommée Association contre la prostitution enfantine) a été la première structure à dénoncer le phénomène grandissant de « tourisme sexuel » impliquant des enfants. Il s’agissait essentiellement de ressortissants occidentaux qui se rendaient dans des pays en développement dans le but spécifique d’acheter des actes sexuels avec des mineurs, ou alors qui avaient recours de manière plus occasionnelle à la prostitution des enfants dans le cadre de voyages d’affaires.

Aujourd’hui, l’exploitation sexuelle des mineurs dans les voyages et le tourisme n’a malheureusement pas été suffisamment endiguée, et les victimes sont toujours aussi nombreuses. Par ailleurs, avec l’essor des technologies de l’information et des communication, l’exploitation sexuelle des enfants est rendue toujours plus facile, avec des formes de violences diverses et inouïes. On constate par exemple le développement de viols d’enfants en live streaming.

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