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Photo du rédacteurACPE Association

Affaire de live streaming : les fondations et associations de protection de l’enfance, parties civiles dans le procès, saluent la décision de la Cour d’assises de Paris rendue ce jour

Dernière mise à jour : il y a 21 heures

La Fondation pour l’Enfance, représentée par Maître Céline Astolfe, Innocence en danger, représentée par Maitre Nathalie Bucquet, l’Enfant Bleu Enfance maltraitée, représentée par Maitre Jean-Christophe Boyer et l’ACPE, représentée par Maitre Agathe Morel, parties civiles lors du procès d’assises concernant des faits de live streaming, saluent cette première décision de la cour d’assises de Paris.


La condamnation de l’accusé à la peine de réclusion criminelle de 25 années et à une peine de suivi socio-judiciaire de 20 ans est à la mesure de l’extrême gravité des faits que la cour a eu à examiner cette semaine.


Le live streaming est un phénomène pédocriminel qui consiste à commander, acheter et visionner en direct des agressions sexuelles, des viols, en l’espèce accompagnés d’actes de torture et de barbarie sur de très jeunes enfants.


Cette décision est un message fort à l’attention des pédocriminels. Il n’y a pas et n’y aura jamais d’impunité !


Cette décision n’aurait pas été sans le travail acharné des enquêteurs de l’ancien groupe central des mineurs victimes de la police judiciaire, devenu depuis un an l’office mineurs et sans la volonté de poursuivre du Parquet de Paris.


Nous continuerons, tous ensemble, à mener cette lutte contre l’exploitation sexuelle des enfants. Leur protection est notre seule préoccupation.


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